Fiche technique
Réalisation : Yves Robert, assisté de Claude Sautet, Daniel Georgeot
Collaboration technique : Patrice Dailly
Scénario : Jean Bellanger
Adaptation, dialogues : Jean Bellanger, Jean Marsan
Décors : Georges Lévy
Photographie : Paul Soulignac-Thomas
Opérateur : André Vilar
Musique : Georges Van Parys, Marc Lanjean.
Montage : Raymond Lamy
Son : Jean Labussière
Maquillage : Joseph Mejinski
Script-girl : Odette Lemarchand
Régisseur général : Jacques Gibault
Directrice de production : Odette Susr
Production : François Chavane, Yves Robert, Alain Poiré
Sociétés de production : Gaumont, Cinéphonic
Secrétaire de production : Geneviève Cortier
Distribution
Jean-Marie Amato : Don Juan
Jean Bellanger : Alfred, l’amoureux timide
Louisa Colpeyn : La comtesse russe
Louis de Funès : M. Célosso, le mari espagnol de la comtesse russe
Catherine Erard : Nicole, la crémière amoureuse d’Alfred
Jacques Fabbri : Monsieur Jacques, le garçon boucher
Gabrielle Fontan : La vieille dame dans l’escalier
Jacques Hilling : Le roi Dagobert, un marcheur
Geneviève Morel : La mère qui marie sa fille
Jacques Morel : Le parfait séducteur
Annie Noël : Poupette, la libraire
Guy Piérault : Un républicain, un marcheur
Yves Robert : L’ancien combattant, un marcheur
Jean Sylvain : Le voisin qui marie sa fille
Edmond Tamiz : Casanova, Landru, un amoureux, un marcheur
Rosy Varte : Dolorès, la victime du dragueur
Laurence Badie : La bonne
Simone Berthier : Une collègue de Nicole à la crèmerie
Yvonne Clech : Une femme du monde
Hubert Deschamps : L’homme fortuné, un marcheur
Nicole Jonesco : La femme qui indique le chemin
Jacques Legras : Le marié
Marie Mergey : La femme qui se dévoue
Roger Saget : Le taxi
Nadine Tallier : La femme dans sa baignoire
Bernard Musson : Jeff, le domestique
Eugène Stuber : Un déménageur
Sous cette tutelle, Alfred fait des progrès remarquables et parvient à séduire une Comtesse russe. Cependant, cette idylle est brutalement interrompue par l’apparition de Célosso, le mari de la Comtesse, un Espagnol d’une jalousie excessive. S’ensuit alors une trépidante course-poursuite impliquant Célosso, Alfred, et l’ensemble des convives d’une fête de mariage.
Grâce à l’intervention finale et à une astucieuse invention de son mentor, Don Juan, Alfred parvient à surmonter ses inhibitions et à concrétiser son désir par un premier baiser échangé avec Nicole.