Fiche technique
Réalisation : Raymond Bernard
Scénario : D’après une légende rhénane (Allemagne) du XVe siècle
Adaptation : Bernard Zimmer, Raymond Bernard
Dialogues : Bernard Zimmer
Assistants réalisateurs : Jacques Planche, Jean-Pierre Decourt
Images : Roger Hubert
Opérateur : Adolphe Charlet, assisté de Max Dulac
Son : André-Léonce Le Baut, Lucien Legrand
Décors : Robert Gys (extérieurs), Lucien Aguettand (intérieurs), assistés de Jacques Villet
Architecte décorateur adjoint : Alexandre Hinkis
Musique : Joseph Kosma (Éditions Enoch et Fortin)
Costumes et maquettes : Rosine Delamare
Cheffe costumière : Georgette Fillon
Montage : Lola Barache, assistée de Marie-Louise Barberot
Scripte : Lucile Costa
Photographe de plateau : Roger Forster
Production : Eugène Tucherer
Société de production : B.U.P
Distribution
Andrée Debar : Agnès Bernauer
Jean-Claude Pascal : Le prince Albert de Bavière
Pierre Renoir : Le duc de Bavière
Gabrielle Dorziat : Josépha, la margrave, la tante du prince Albert
Jean Barrère : Le comte Törring
Olivier Hussenot : M. Bernauer, barbier, le père d’Agnès et Marie
Louis Seigner : Le bourgmestre
André Wasley : Le capitaine
Jacques Dynam : Un soldat
Max Dalban : Le boucher
Jean Clarieux : Le chef de bande
Marcel Raine : Le ministre
Louis de Funès : L’homme qui se fait arracher une dent chez le barbier, et un envoyé du bourgmestre
Georges Douking : Le moine Enrique, commissaire de l’inquisition
Marie-France Planèze : Marie Bernauer, la sœur d’Agnès
Jane Morlet : Une bourgeoise
Catherine Fonteney : Une bourgeoise
Henri Coutet : Herman, un adjoint de M. Bernauer
Maurice Schutz : Le sujet qui patiente devant la boutique du barbier
Daniel Ceccaldi : Théobald, le commis de M. Bernauer et amoureux d’Agnès
Jacky Gencel : L’enfant « Colonel »
Edmond Tamiz : Un conseiller du bourgmestre
Nicolas Vogel
Maurice Régamey
Olivier Mathot
Guy-Henry
Gil Delamare
Denise Kerny
Jeanne Herviale
Roger Vincent
Philippe Olive
Daniel Mendaille
René Arrieu
Gérard Darrieu
Pierre Morin
Georges Lycan
Pierre Goutas
Leur passion, jugée folle, mena à un sacrifice ultime. Pour sauver son bien-aimé de la disgrâce ou du danger, Agnès s’accusa du crime capital de sorcellerie et fut condamnée à mort.
Dévasté, le prince Albert, n’écoutant que son cœur brisé, rejoignit sa bien-aimée dans les flots du Danube — un acte désespéré marquant la fin déchirante de leur union légendaire.