7ème commandement : Tu ne déroberas point
– D’après la nouvelle de Richard Levinson et William Link
– Dialogues : Michel Audiard
Fiche technique
Réalisation : Julien Duvivier
Assistants à la réalisation : Tony Aboyantz, Pierre Desfons
Décors : François de Lamothe, assisté de René Calviera et Frédéric de Pasquale
Ensemblier : Robert Christidès
Costumes : Tanine Autré
Maquillage : Georges Bouban, assisté de Jacques Bouban
Photographie : Roger Fellous, assisté de René Schneider et Agathe Beaumont
Cadrage : Robert Schneider
Son : Fernand Janisse
Mixage son : Guy Chichignoud
Générique et effets spéciaux : Jean Fouchet
Montage : Paul Cayatte, assisté de Nicole Colombier
Musique : Georges Garvarentz, Guy Magenta, Michel Magne
Direction musicale : Michel Magne (éditions musicales Eddie Barclay)
Scripte : Annie Maurel
Photographe de plateau : Walter Limot
Régie générale : Paul Dufour
Chefs de production : Almos Mező, Ralph Baum
Producteurs : Robert Amon, Claude Jaeger
Sociétés de production : Filmsonor (France), Mondex Films (France), Procinex (France), Incei Films (Italie), Álmos Mező (Franco-Italienne), Intercontinental Productions (Italie)
Sociétés de distribution : Cinédis (France), Les Acacias (France), Tamasa Distribution (ventes à l’étranger)
Distribution
7ème commandement : Tu ne déroberas point
Jean-Claude Brialy : Didier Marin, l’employé de banque
Louis de Funès : Antoine Vaillant, le braqueur
Armande Navarre : Janine Millaud, la fiancée de Didier Marin
Noël Roquevert : L’inspecteur de police
Denise Gence : La chaisière qui donne l’adresse de Vaillant à Didier
Jean-Paul Moulinot : Le directeur de la banque
Jean Carmet : Le clochard
André Gabriello : Le brigadier
Yves Barsacq : Un agent sur le quai de la Seine
Edmond Ardisson : Un agent
Jean Luisi : L’adjoint corse de l’inspecteur
Jimmy Perrys (non crédité) : Le bistrotier du Mistigri
Henri Guégan (non crédité) : Un homme à la confrontation
Marc Arian (non crédité) : Un homme à la confrontation
La confrontation entre le caissier-voleur et le braqueur se solde par un accord de partage. Cependant, l’ouverture de la valise révèle un coup de théâtre : au lieu de liasses de billets, les deux hommes ne trouvent qu’un saucisson et un litre de vin rouge.
Le magot a été échangé par mégarde avec le paquet d’un clochard dans un bistrot. Ironie du sort : le clochard, stupéfait par la fortune qu’il découvre dans sa valise à pique-nique, est immédiatement arrêté par la police. Les deux aspirants criminels se retrouvent sans argent, victimes de leur propre machination.
Le diable et les dix commandements