La rue sans loi

La rue sans loi
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Film présenté le 1 décembre 1950 sur les écrans français

Fiche technique


Réalisation : Marcel Gibaud
Scénario : Jean Halain et Marcel Gibaud, d’après les caricatures du dessinateur Dubout
Photographie : André Dantan
Cadreur : Charles-Henri Montel
Montage : Marguerite Beaugé
Musique : Marcel Landowski
Son : René Brunot
Décors : Raymond Duart
Directeur technique : Léon Mathot
Production : Claude Dolbert
Société de production : Codo Cinéma (France)
Distribution : Filmsonor

Distribution


André Gabriello : Sparadra, le truand
Annette Poivre : La comtesse de La Trille
Paul Demange : Anatole, comptable, mari de Fifille
Albert Dinan : François, un collègue d’Anatole
Nathalie Nattier : Emma, la vamp
Max Dalban en femme : Germaine dite Fifille, la femme truculente d’Anatole
Fernand Gilbert : Le capitaine moustachu
Louis de Funès : Hippolyte, le professeur de musique

Non crédités :

Roger Desmare : Le garçon de café
Mag Avril : La dame de l’auto
Jackie Sardou : La nourrice
Luc Andrieux : Un complice de Sparada
Georges Paulais : Le monsieur distingué
Marcel Mérovée : Oscar, le fils d’Anatole et Fifille
Jean Sylvain : Le moniteur d’auto-école
Claude Nicot : Barbet
Pierre Clarel : Le mendiant
Amédée : Le neveu de la comtesse
Eugène Yvernes : Le peintre
Jean Bouche : Un agent
Paul Pauléon (Léon) : Un agent
Georgette Anys : Une invitée chez la comtesse
Suzanne Gabriello : Une invitée chez la comtesse
Max Dejean : Le cambrioleur
Hubert Deschamps : L’invité qui dit “Un oiseau !”
Edouard Francomme : Un spectateur
Emile Riandreys : un spectateur

VERIF PAULEON

Ce film propose une adaptation burlesque et trépidante de l’univers d’Albert Dubout, transposant à l’écran ses célèbres dessins hauts en couleur. C’est un film à voir avec un certain recul ! On y retrouve le comptable Anatole, son épouse autoritaire Germaine, surnommée « Fifille », ainsi que le malfrat Sparadra, installé dans une rue aussi mal famée que pittoresque.
Autour d’eux gravite une galerie de personnages tout droit sortis d’une caricature : une comtesse fantasque, une vamp sophistiquée, le jeune Oscar et son professeur de musique, Hippolyte. Ensemble, ils s’agitent dans une succession de situations délirantes, fidèles à l’esprit satirique et au rythme effréné des dessins de Dubout.

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