La Zizanie

La zizanie
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Film présenté le 16 mars 1978 sur les écrans français

Vladimir Cosma compose la bande originale de La Zizanie, après L’Aile ou la Cuisse. Il avait précédemment mis en musique Louis de Funès dans Les Aventures de Rabbi Jacob (1973) et le réalisateur Gérard Oury prévoyait de le reconduire pour Le Crocodile. A noter que Pierre Perret avait composé et interprété une chanson pour le générique. Chanson qui a été finalement refusée par Louis de Funès.

Fiche technique


Réalisation : Claude Zidi
Scénario, adaptation : Claude Zidi avec la collaboration de Michel Fabre
Dialogues : Pascal Jardin
Assistant réalisateur : Jacques Santi
Musique : Vladimir Cosma
Images : Claude Renoir
Chef Éclairagiste : Jacques Touillaud
Décors : Théo Meurisse
Montage : Robert et Monique Isnardon
Son : Bernard Aubouy, assisté de Jean-Louis Ughetto, Jean-Bernard Thomasson
Stagiaire son : Sophie Chabaut
Caméra : Patrick Wyers, Jean-Paul Meurisse
Assistant opérateur : Eduardo Serra
Régie générale : Patrick Delaneux
Costumière : Paulette Breil
Coiffures : Alice Schwartz
Maquillage : Anatole Paris, Louis Bonnemaison
Ensemblier : Roger Joint
Script-girl : Many Barthod
Casting : Margot Capelier
Mixeur : Claude Villand
Effets spéciaux : Christian Bourqui, Henri Assola, Serge Ponvianne, assisté de Jean François Cousson et Patrick Torossian
Cascades réglées par : Daniel Vérité – Doublure cascades « Louis de Funès » : Georges Fabre
Accessoiriste : Marcel Laude
Bruiteur : André Naudin
Générique : Michel Saignes (Eurocitel) – Trucages : Euro-Titres
Producteur délégué : Bernard Artigue
Production : Les Films Christian Fechner

Distribution


Louis de Funès : Guillaume Daubray-Lacaze
Annie Girardot : Bernadette Daubray-Lacaze
Maurice Risch : L’homme à tout faire, « l’imbécile »
Julien Guiomar : Le docteur Landry, médecin de Bernadette
Jean-Jacques Moreau : Le contremaître et adjoint au maire
Geneviève Fontanel : Madame Berger
Jacques François : Le préfet
Georges Staquet : Le délégué ouvrier
Mario David : Le camionneur
Daniel Boulanger : Le directeur de la banque
Nicole Chollet : Léontine, la bonne des Daubray-Lacaze
Ham-Chau Luong : Hirchumacho
Ibrahim Seck : Un ouvrier
Van Duong : Le directeur financier
Joséphine Fresson : La secrétaire de Guillaume Daubray-Lacaze
Robert Destain : Le directeur de l’hôtel
Tanya Lopert : Une amie de Bernadette
Jacqueline Jefford : L’autre amie de Bernadette
Patrice Melennec : Un ouvrier
Gabriel Marfaing : Un ouvrier
Jean Cherlian : Un ouvrier
Vincent Gardair : Un ouvrier
Henri Attal : Un ouvrier
Renaud Barbier : Un ouvrier
Farid Ben Dali : Un ouvrier
André Badin : Monsieur Bernardin, un ouvrier
Christine Hermann : Une ouvrière
Marcel Azzola : L’accordéoniste
Philippe Brigaud : Le notaire
Hubert Deschamps : Le réceptionniste de l’hôtel
Pierre-Olivier Scotto : L’imitateur de Daubray-Lacaze
Takashi Kawahara : L’interprète de la délégation japonaise
Eric Desmarestz : Le nouveau chef du personnel
Hubert Watrinet : Le metteur en scène télé
Beate Kopp : La femme maquillée, avec l’accent anglais, à la soirée costumée de l’hôtel
Eric Vasberg : Un homme à la soirée costumée de l’hôtel
Lionel Vitrant : Un homme à la soirée costumée de l’hôtel
Guy Di Rigo : Un homme à la soirée costumée de l’hôtel
Jacques Pisias : L’homme à la soirée électorale qui apporte le téléphone au Docteur
Antoine Sammartano : Le violoniste

Guillaume Daubray-Lacaze, maire libéral-conservateur respecté d’une ville de province, est également un industriel au bord du gouffre. Son entreprise, spécialisée dans les équipements anti-pollution, est au seuil de la faillite.
Un revirement inespéré survient lorsqu’un important groupe japonais passe une commande colossale : la fabrication et la livraison de 3 000 appareils de dépollution de l’air, les CX-22, le tout sous un délai extrêmement serré de 90 jours. Cette commande représente le salut de son usine et de sa fortune.
Cependant, le sauvetage est compromis par un problème logistique majeur : l’usine est sous-dimensionnée. Guillaume Daubray-Lacaze manque cruellement d’espace pour la production et le stockage de ces milliers d’appareils. Lorsque le préfet refuse son autorisation d’étendre l’usine sur les terrains adjacents, le maire est acculé.
Face à cet obstacle bureaucratique, Guillaume prend une décision radicale et désespérée : il choisit d’installer les chaînes de production directement dans… sa propre maison !

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