Les hommes ne pensent qu’à ça

Les hommes ne pensent qu'à ça
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Film présenté le 7 juillet 1954 sur les écrans français

Fiche technique


Réalisation : Yves Robert, assisté de Claude Sautet, Daniel Georgeot
Collaboration technique : Patrice Dailly
Scénario : Jean Bellanger
Adaptation, dialogues : Jean Bellanger, Jean Marsan
Décors : Georges Lévy
Photographie : Paul Soulignac-Thomas
Opérateur : André Vilar
Musique : Georges Van Parys, Marc Lanjean.
Montage : Raymond Lamy
Son : Jean Labussière
Maquillage : Joseph Mejinski
Script-girl : Odette Lemarchand
Régisseur général : Jacques Gibault
Directrice de production : Odette Susr
Production : François Chavane, Yves Robert, Alain Poiré
Sociétés de production : Gaumont, Cinéphonic
Secrétaire de production : Geneviève Cortier

Distribution


Jean-Marie Amato : Don Juan
Jean Bellanger : Alfred, l’amoureux timide
Louisa Colpeyn : La comtesse russe
Louis de Funès : M. Célosso, le mari espagnol de la comtesse russe
Catherine Erard : Nicole, la crémière amoureuse d’Alfred
Jacques Fabbri : Monsieur Jacques, le garçon boucher
Gabrielle Fontan : La vieille dame dans l’escalier
Jacques Hilling : Le roi Dagobert, un marcheur
Geneviève Morel : La mère qui marie sa fille
Jacques Morel : Le parfait séducteur
Annie Noël : Poupette, la libraire
Guy Piérault : Un républicain, un marcheur
Yves Robert : L’ancien combattant, un marcheur
Jean Sylvain : Le voisin qui marie sa fille
Edmond Tamiz : Casanova, Landru, un amoureux, un marcheur
Rosy Varte : Dolorès, la victime du dragueur
Laurence Badie : La bonne
Simone Berthier : Une collègue de Nicole à la crèmerie
Yvonne Clech : Une femme du monde
Hubert Deschamps : L’homme fortuné, un marcheur
Nicole Jonesco : La femme qui indique le chemin
Jacques Legras : Le marié
Marie Mergey : La femme qui se dévoue
Roger Saget : Le taxi
Nadine Tallier : La femme dans sa baignoire
Bernard Musson : Jeff, le domestique
Eugène Stuber : Un déménageur

Alfred est trop timide pour exprimer ses sentiments à Nicole, la crémière dont il est épris. Le destin place alors sur sa route Don Juan, revenu sur Terre, qui entreprend l’éducation sentimentale et pratique d’Alfred.
Sous cette tutelle, Alfred fait des progrès remarquables et parvient à séduire une Comtesse russe. Cependant, cette idylle est brutalement interrompue par l’apparition de Célosso, le mari de la Comtesse, un Espagnol d’une jalousie excessive. S’ensuit alors une trépidante course-poursuite impliquant Célosso, Alfred, et l’ensemble des convives d’une fête de mariage.
Grâce à l’intervention finale et à une astucieuse invention de son mentor, Don Juan, Alfred parvient à surmonter ses inhibitions et à concrétiser son désir par un premier baiser échangé avec Nicole.

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