6 heures à perdre

6 heures à perdre
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Film présenté le 22 janvier 1947 sur les écrans français

Deuxième apparition de Louis de Funès à l’écran, tout petit rôle avec deux phrases, pour lequel il incarne le chauffeur au tout début du film.

Temps de présence à l’écran : 40 secondes

Fiche technique


Réalisation : Jean Le Vitte et Alex Joffé
Photographie : Pierre Montazel
Scénario original, adaptation, dialogues : Alex Joffé et Raoul André
Montage : Madeleine Gug, Denise Baby
Décors : Guy de Gastyne assisté de André Robert
Son : Maurice Carrouet
Producteur délégué : René Guissart
Société de production : Société Nouvelle Pathé Cinéma
Société de distribution : Pathé Consortium Cinéma

Distribution


André Luguet : Le voyageur et son excellence Léopold de Witt
Dany Robin : Rosy
Denise Grey : Mme de Witt, la femme de son Excellence
Jacqueline Pierreux : Simone
Paulette Dubost : Annette
Luce Fabiole : la voyageuse
Marguerite de Morlaye : la douairière
Jean-Jacques Delbo : Claude
Pierre Larquey : Joseph
Jean Gaven : Antoine
François Joux : l’homme à l’enveloppe
Jean-Jacques Rouff : le deuxième homme
Robert Seller : le bourgmestre
Michel Seldow : l’évêque
Henri Vilbert : le douanier
Marcel Lévesque : le général
Albert Michel : le porteur
Jean Richard : le sergent de ville
Louis de Funès : le chauffeur de son Excellence Léopold de Witt

Pris pour un certain Léopold de Witt, diplomate de retour après une longue absence, un escroc profite d’une erreur d’identité pour échapper aux douaniers. Jouant le jeu, il se retrouve malgré lui accueilli dans une luxueuse demeure, au sein d’une famille bourgeoise minée par les rivalités et les liaisons troubles, dominée par un couple manipulateur fraîchement installé.
Peu à peu, l’imposteur s’attache à cette famille qu’il devait tromper. Touché par la sincérité des enfants et par la grâce un peu blessée de l’épouse, il devient, à son insu, un élément de rédemption dans cet univers corrompu. Mais son rôle de faux diplomate attire l’attention de deux espions acharnés, persuadés qu’il détient une mystérieuse lettre compromettante.
La comédie d’imposture vire au drame lorsque ces agents le rattrapent : le faux de Witt est abattu, victime d’une confusion fatale que ses assassins découvrent trop tard — sans en éprouver le moindre remords.
6 heures à perdre
Le chauffeur de M. et Mme de Witte

Six heures à perdre

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✩ NOËL avec LOUIS DE FUNÈS ✩     

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