6 heures à perdre

6 heures à perdre

1947

Deuxième apparition de Louis de Funès à l’écran, tout petit rôle avec deux phrases, pour lequel il incarne le chauffeur au tout début du film.

Temps de présence à l’écran : 40 secondes

Fiche technique


Réalisation : Jean Le Vitte et Alex Joffé
Photographie : Pierre Montazel
Scénario original, adaptation, dialogues : Alex Joffé et Raoul André
Montage : Madeleine Gug, Denise Baby
Décors : Guy de Gastyne assisté de André Robert
Son : Maurice Carrouet
Producteur délégué : René Guissart
Société de production : Société Nouvelle Pathé Cinéma
Société de distribution : Pathé Consortium Cinéma

Distribution


André Luguet : Le voyageur et son excellence Léopold de Witt
Dany Robin : Rosy
Denise Grey : Mme de Witt, la femme de son Excellence
Jacqueline Pierreux : Simone
Paulette Dubost : Annette
Luce Fabiole : la voyageuse
Marguerite de Morlaye : la douairière
Jean-Jacques Delbo : Claude
Pierre Larquey : Joseph
Jean Gaven : Antoine
François Joux : l’homme à l’enveloppe
Jean-Jacques Rouff : le deuxième homme
Robert Seller : le bourgmestre
Michel Seldow : l’évêque
Henri Vilbert : le douanier
Marcel Lévesque : le général
Albert Michel : le porteur
Jean Richard : le sergent de ville
Louis de Funès : le chauffeur de son Excellence Léopold de Witt

Pris pour un certain Léopold de Witt, diplomate rentrant chez lui après une longue absence, l’escroc qui voit dans cette confusion l’opportunité d’échapper aux douaniers, joue le jeu, se laisse emballer et se retrouve bientôt dans une luxueuse résidence au cœur d’une famille déchirée par des amours d’autant compliquées qu’elles ont toutes pour jonction un couple malhonnête récemment installé à demeure.

L’imposteur, séduit par la candeur de ses enfants et, malgré sa rudesse, par son épouse aussi, est amené à jouer un rôle bienfaisant et purificateur pour tous et toutes. Pendant ces 6 heures, il va néanmoins être harcelé par 2 espions qui lui demandent sans cesse de lui remettre une “lettre” dont le contenu semble être une affaire louche.

Le ‘diplomate’ éphémère finira abattu par les espions, qui constatent trop tard leur méprise sans en être autrement affectés.

Six heures à perdre

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